Il faudrait vraiment que je teste ça un jour.
Ah bah tout va bien, la marque est en conformité avec la loi française. C'est bon, circulez.
Bouffons.
Bon, alors OK, j'achetais déjà pas Bonduelle, mais là...
Et qu'on ne vienne pas me dire "osef c'est qu'une histoire pour les végé*" (comme je l'ai vu dans certaines réactions au delà des frontières de l'absurde). Lorsque j'achète des haricots verts, je veux des haricots verts, point barre. J'ai pas envie d'acheter du bouillon de poulet, de la viande de cheval ou que sais-je qui leur restait sous la main pour faire passer le goût pas terrible de leur production brute.
(via Sammy)
Ce mec a un super-pouvoir, c'est pas possible ^^
Article très intéressant sur le pixel art.
En gros, le pixel art n'est "que" la meilleure méthode disponible à un époque, permettant d'obtenir le meilleur effet visuel avec les outils disponibles de l'époque.
À l'heure de la "HD everywhere", cette forme d'art est une forme de nostalgie. Cette nostalgie se retrouve dans le vocabulaire associé aux nouveaux jeux utilisant du pixel art : "pixelisé", "retro".
Pour paraphraser l'article, lorsque les pixels eux-même étaient visibles à l'œil nu, cela avait un sens de placer à la main chacun d'entre eux. Aujourd'hui, un pixel est virtuellement indiscernable, cela n'a donc pas de sens de s'en occuper particulièrement.
Cependant, il y a des enseignements nés des contraintes de l'époque qui restent valables aujourd'hui encore : le temps de faire des animations qui semblent naturelles, utiliser une palette de couleurs réduite, etc. Cela a un sens non seulement en terme de rendu, mais aussi en terme d'économie d'énergie, qui est une contrainte qui devrait être plus souvent prise en compte aujourd'hui.
Donc cet "artiste pixel" abandonne le pixel art dans ses productions, pour faire avec les meilleurs outils disponibles aujourd'hui, comme les artistes du "pixel art" le faisaient dans les années 80-90.
Nicolas Sarkozy répond en direct sur Twitter.
Les questions posées par les twittos sont à se pisser dessus XD
"Comment avez-vous fait pour berner Orange et avoir une ligne au nom de Bismuth sans justificatif de domicile? "
"Est ce que si en 2017 vous reperdez, est ce que vous requitterez la politique pour rerevenir?"
"Votre avenir étant dans l'industrie de la casserole, songez-vous à une reconversion ? "
"Je voudrais adhérer à votre parti Les Républicains mais je n'ai jamais rien volé ni escroqué ni trompé personne. Est ce possible?"
"#NSDIRECT étant largement spolié par les gauchiasses socialopes, le nouveau hashtag est #PrisonDIRECT."
"Maintenant que Kadhafi est mort et que Mme Bettencourt est sous tutelle, comment allez vous financer votre campagne en 2017 ?"
"Et si vous faisiez les choses dans l'ordre ? Commencez donc par répondre aux questions des juges. Nous, on attendra."
""Les racailles on va vous en débarrasser "c'était une allusion à Bygmalion ?"
"Vos privilèges en tant qu'ancien chef d'état coûtent près de 2 millions d'euros d'argent public par an. Marre de l'assistanat?"
XD
Intéressant.
Une critique de ce qu'est devenu la méthodologie "agile", par un des auteurs d'origine de cette méthodologie.
Perso, j'en peux plus de ce terme, c'est essentiellement un terme qui cache du stress et de l'exploitation, et qui, sous couvert de "répondre à un besoin changeant" se permet de faire travailler tout le monde dans l'urgence, avec des horaires qui ne laissent pas la place pour vivre sa vie.
Les étapes initialement prévues de "repos", avec des retours d'expérience, une adaptation, de l'anticipation sont très régulièrement oubliées.
Alors l'auteur propose une nouvelle méthodologie : le GROWS. Je n'ai pas encore lu, mais ça m'a juste l'air d'être une autre méthode d'exploitation, évidemment.
Tant qu'il n'y aura pas, inscrit dans le marbre d'une méthode, "laisser du temps de repos, à eux, sans y foutre votre nez, aux personnes qui bossent", ça ne sera pas une méthode humainement acceptable.
Mais bon, l'humain, on s'en fout, ce qu'il faut, c'est de la croissance, du profit.
(via sebsauvage)
Quand le PCF applique la volonté d'un renouveau démocratique (i.e. porter une proposition née d'une consultation citoyenne et du terrain).
Alors, certes, ça concerne le réseau de téléphonie fixe (et donc de la connexion Internet pour beaucoup) en milieu rural, abandonné par Orange alors que de nombreuses personnes en ont encore besoin, notamment les plus vulnérables.
Extrêmement révélateur.
Le premier terme est frappant : alors que les anti-féministes parlent des "féministes" (argument ad hominem), les féministes parlent de "féminisme".
(via Lila je crois)
:D
Sinon, on ne vit pas dans un système raciste, non non.
Roh ! Trop bien ! Une batterie qui tape à partir de texte.
zerddrez
zerd
zeryyrez
En boucle :p
(via shaarli.fr)
Ah, la voilà la fameuse faille de sécurité qu'AWS a corrigé sur Xen avant divulgation !
Passer par le lecteur de disquettes virtuel... Excellent XD
C'est pas faux, mais on ne pourra jamais se passer d'intermédiaires, à moins de tous s'envoyer directement des chèques dans nos porte-feuilles ou comptes "monnaie alternative" sans assurance/remboursement en cas de vol.
Certes, 8% ça paraît énorme, mais il faut bien payer les personnes qui gèrent tout ça derrière, l'infrastructure, et autres frais de fonctionnement.
Après, il y a intermédiaire et intermédiaire.
L'intermédiaire idéal dans ce genre de situation et dans ce système, je le vois transparent sur ses frais (nombre de salariés, masse salariale, frais de fonctionnement, etc.), avec une redistribution des bénéfices (ou partie des bénéfices en cas d'investissement) (bon, idéalement une SCOP, ou une association, on va pas se mentir), avec un pourcentage qui diminue à mesure qu'ils traitent des sommes importantes (modèle économique AWS => plus il y a de clients/achats, moins c'est cher, donc plus c'est intéressant pour les clients, donc plus il y en a.....).
Et là, ça deviendra vraiment intéressant.
Il y a aussi la possibilité d'utiliser les TW comme sur les forums militants.
Pour reprendre ton exemple de suicide, un simple message "TW : suicide" peut suffire.
S'il y a virtuellement une infinité de situations pouvant choquer, il y en a en définitive assez peu qui aboutissent à des troubles post-traumatiques, et ils sont connus.
Le fait qu'une scène potentiellement stressante (au sens du trouble post-traumatique) puisse être évitée ne signifie pas qu'elle est dispensable à l'intrigue : elle peut apporter quelque chose au jeu (ou au film, la série, etc.) mais elle n'a pas à être vue par une personne pour comprendre l'intrigue. Un résumé suffit en général.
Sur ce sujet, comme sur beaucoup d'autres, il faut partir du point de vue des personnes concernées. Et, de ce que j'en sais, elles sont plutôt de l'avis de la citation de l'article :
"Une victime de viol explique à Libération préférer être préparée «à lire ou à voir tout ce qui a trait aux agressions sexuelles, et ce même si je ne suis pas sujet aux crises d’angoisse violentes», quitte à subir des spoilers."
Maintenant, aux créateurs de trouver les moyens de mettre ça en place. La meilleure façon de faire est certainement de discuter avec les personnes sujettes au stress post-traumatique (associations ou autres) afin d'élaborer, in fine, les guidelines nécessaires à une bonne prise en compte de ces éléments.
À l'heure des télévisions interactives, des scènes de jeu en QTE, et autres systèmes "concentrés sur l'expérience utilisateur", ne peut-on pas trouver un moyen qui permette tout ça ?
Et encore une fois, il me semble (mais je ne suis pas concerné directement, mais c'est ce qu'on fait lorsqu'on veut parler d'un tel sujet dans certains espaces de discussion écrits) qu'un "trigger warning : suicide/viol/racisme/etc." permet aux personnes sensibles sur un sujet de prendre leurs dispositions (même si cette disposition est l'évitement). Attention cependant à ne pas tomber, en voulant protéger, dans l'infantilisation.
En France, elle aurait gain de cause. Pour le moment.
Pas bête.
Ça aurait toute sa place dans les cours sur le numérique, par exemple... wink wink