Il faut VRAIMENT que j'y passe, mais les habitudes (et les documentations) ont la vie très dure...
"et du cul".
J'avais loupé l'article sur la sodomie : http://sametmax.com/sol-do-mi-sol-do-mi-sol-do-mi/
Bon, ça reste des grandes lignes, une idée générale, etc. Comme pour chaque partenaire, de toute façon, il faut apprendre l'autre.
En revanche, je suis 100% d'accord avec : "si vous avez des amis LGB extravertis, demandez leurs des conseils, ils sont simplement meilleurs que vous au pieu". C'est un fait, il n'y a que rarement meilleur suceur qu'un mec. Mais le sexe n'est pas une compétition, et donc le partage de connaissances ne peut pas faire de mal ^^ (et si ça peut mettre fin au culte de la performance, c'est pas plus mal non plus)
Du coup, check bien le voltage/ampérage...
(j'dis ça parce que j'ai déjà bousillé un truc en faisant pas gaffe comme ça)
Ayez confiance en la police qu'on vous dit !
OK, Hollande ne fait rien pour rétablir la situation et il est complètement défenseur de la même idéologie globale que Sarkozy (défense du capitalisme). Mais il faut voir aussi de quoi il a hérité...
(via Timo)
Extrayez votre ADN à la maison :)
J'ai explosé de rire, je m'attendais pas DU TOUT à ça XD
What the what ? FFmpeg en JS. Tout simplement Ô_Ô
(via sebsauvage)
Oooooooh c'est mignon !
(ouais, c'est guimauve et fuck le mariage, la télé, tout ça, mais du gnangnan normé j'ai le droit le Vendredi mon toubib il a dit)
(je me demande s'il y aura un jour une demande de mariage par Shaarli interposés ? ^^)
Wow...
Le Japon pourrait juste disparaître d'ici 3 ans ? Ô_Ô
Ah yes !
J'aime beaucoup RainTPL, même si j'avoue qu'en effet le développement est un peu au point mort :(
Oh la belle arnaque sur fond de solidarité....
:(
Pour avoir bien étudié le système, OUI, les boutons poussoirs pour "appeler le feu rouge" sont totalement factices.
Les feux de circulation sont coordonnés à l'échelle de plusieurs carrefours, sur une ligne droite, parfois même à l'échelle de toute une ville. Ils sont calculés pour être verts d'un bout à l'autre de la chaine coordonnée si l'automobiliste respecte la limitation de vitesse et être rouge sinon.
Vous croyez vraiment qu'ils vont foutre ça en l'air pour des piétons ? :p
Un fractal peut-il être NSFW ?
Apparemment, oui.
(faut cliquer sur l'image pixelisée pour bien voir)
(via sebsauvage)
Acheter une maison. Découvrir un passage secret derrière la bibliothèque. Trouver une pièce cachée. Jusque là, cool.
Retrouver les paquets de bonbons que vous aviez acheté pour Halloween. Réaliser que quelqu'un vivait dans vos murs.
...
GET FUCKING OUT OF HERE !
(via sebsauvage)
Je ne soutiens pas la Licra mais le jugement.
Si la Licra est bien la plaignante, le jugement n'est pas celui de la Licra mais d'un juge indépendant.
Et pour le coup, ouais, je trouve ça juste. Ce n'est pas de la censure mais l'application des bornes (qui sont très larges hein) à la liberté d'expression.
Je vois certain⋅es camarades avoir un peu ce sentiment aussi. Dans ces instants de cristallisation de la société (augmentation des tensions jusqu'à la rupture, mécanisme d'un système en crise), on peut très vite se sentir découragé⋅e, surtout lorsque la pensée dominante est "le syndicalisme ne sert à rien", "de toute façon c'est comme ça" et "les partis, c'est tous pourris".
Je suis moi-même passé par un certain nombre de ces périodes, d'autant plus facilement que je suis en dehors de toute structure militante organisée, un solitaire, une "force d'appoint"... Ce statut me permet en revanche de réellement apprécier une manifestation, où j'y croise des gens que je n'ai pas vu depuis un moment (ces vrais militants engagés et encartés), où je prends des nouvelles, etc. Où je me sens un peu coupable, aussi, de les voir dépenser une énergie folle à longueur d'année quand je garde le luxe de le faire quand je veux.
Ces petits instants de la vie quotidienne, aussi, où tu entends quelque chose de sexiste, raciste, xénophobe, que tu vas pour répliquer et que finalement tu te dis "bah, à quoi bon ?". Tu sais qu'il faut combattre, tu connais les implications de laisser ces idées se répandre, mais que finalement, non, pas cette fois, parce que pffffff. Je dis "entendre" parce qu'il est plus rare de ne rien faire lorsqu'on voit une action.
Et puis, évidemment, les copains et les copines traqué⋅es, tabassé⋅es, tué⋅es parfois dans l'indifférence générale, voire agrémenté d'un "ille l'avait un peu cherché aussi". Et cette connaissance historique que ça ne va pas aller en s'arrangeant, qu'il y aura de plus en plus de blessé⋅es, de mort⋅es, et qu'ils seront majoritairement "de ton côté". Et que les coups les plus rudes sont à venir.
Il y a de quoi déprimer, baisser les bras, tout envoyer au Diable.
Heureusement, l'Histoire permet aussi de garder espoir et joie. Par exemple, en 1936, alors que le syndicalisme était au plus bas des dernières années, avec des mouvements sociaux mous, que le patronat pensait les travailleurs à sa botte (puisqu'il y travaillait très activement, en collaboration avec l'ennemi, depuis 1932), d'un coup, pour une connerie, le mouvement s'est emballé, laissant une marque de "bonne année" à celleux l'ayant vécu.
Si la colère est nécessaire au militantisme, on oublie par trop souvent la joie que cela peut apporter aussi. La joie de la lutte, d'abord, c'est à dire ce sentiment de se battre pour quelque chose de juste. La joie de la victoire, ensuite, qu'il est important de garder à l'esprit, même pour les plus petites batailles. La joie d'être ensemble enfin, se regrouper malgré nos différences pour lutter ensemble dans l'espoir d'un monde meilleur.
Le militantisme, quelle qu'en soit sa forme, nait de la colère, celle de ne pas vouloir laisser des gens dormir dans la rue, ne pas manger à leur faim, être maltraité, souvent pour des raisons de couleur de peau, de genre, de sexe, de frontière ou autre différence ; soit qu'on en soit soi-même victime ou qu'on ne tolère pas que cela se fasse.
Mais c'est aussi beaucoup de joie, souvent très vite oubliée tellement le combat peut sembler rude. Et résister, c'est effectivement aussi se mettre en joie contre cette noirceur dans laquelle on peut tous très vite tomber.