Ah. Ouais. OK. Vu comme ça...
(via Gopi)
Haha, mais grave ! XD
(via Petit Être Malfaisant)
OUAIS C'EST ÇA ! ACHÈVE LE !
_<'
(ou trouvera cette photo illustrant "crétin" dans le Larousse 2015)
Mh.
Ce n'est pas propre au véganisme, mais propre au militantisme. Il n'y a rien (si ce n'est les aspects spécifiques à cette lutte, mais c'est secondaire) dans ce qui est décrit qui ne s'applique pas à un⋅e militant⋅e de manière générale.
J'en parlais déjà ici : http://mypersonnaldata.eu/shaarli/?b3Lyhw
Effectivement, on en parle peu. Même entre militants. Ce ne sont pas des sujets qui encouragent et, pourtant, il me semble vital de le dire, de le reconnaitre, ne serait-ce que pour en contrer, un peu, les effets.
Le militantisme a des périodes de hauts et de bas. En haut, c'est quand on gagne, qu'on convainc des gens, ou qu'on arrive à poser un problème avec nos termes et non ceux des dominants, quand quelqu'un⋅e rejoint la lutte avec son énergie nouvelle, etc. En bas, c'est quand on perd, que des camarades de lutte doutent, s'en vont, abandonnent, quand on trouve que finalement, à quoi bon ?
Et à côté de tout ça, il y a les hermétiques agents du système (qui s'ignorent souvent, mais pas tout le temps). Celleux qui, n'ayant jamais lutté de leur vie parfois, parlent de "prise d'otage", de "monopole du cœur", de "bon sens", qui viennent t'expliquer comment tu devrais lutter (souvent d'une manière qui ne les fera pas chier eux), etc.
Pire, il y a aussi les fau⋅sses⋅x allié⋅es, celleux qui semblent lutter dans ton sens mais qui, au final, poursuivent un tout autre but et participent d'un autre système oppressif (je vois, dans les liens à droite, OLF, qui fait partie de cette catégorie, mais passons).
À partir du moment où on milite, on est confronté à tout ça. Parce que militer, c'est ne pas être d'accord avec le système en place et le faire savoir. Et le système en place est puissant : il tient d'une main de fer l'ensemble de la planète. Comment lutter ? Comment changer les choses face à un tel gigantisme ? Il y a de quoi désespérer.
Et pourtant...
C'est dans l'Histoire que l'on trouve un réconfort, raison pour laquelle, peut-être, c'est un domaine si mal enseigné et autant décrédibilisé (Lorànt Deutsch, si tu lis ces lignes : arrête de sortir des bouquins de contre-sens historiques, tu fais du mal à ce que tu prétends défendre ; si tu as des fantasmes, fais un roman, mais prétends pas que c'est sérieux).
En effet, pour changer "le système" (capitaliste-libéral dans le texte), il ne faut pas être la majorité. Il suffit d'être assez. Et "assez", c'est pas si énorme que ça.
Prenons 1936 en France qui, dans un cadre de crise, voit les salaires augmentés de 12%, l'instauration des congés payés et la semaine de travail passer de 48 à 40 heures.
Et tout cela partant de quoi ? 900 salariés au Havre, solidaires de 2 des leurs licenciés pour avoir fait grève (une variante du lockout classique).
Avaient-ils idée de ce qu'ils allaient déclencher ? Bien sûr que non. Avaient-ils prémédité tout ça ? Évidemment non. Alors qu'avaient-ils fait pour obtenir autant ?
Ils ont simplement lutté, comme d'ailleurs ils ne le faisaient plus trop depuis 1932-1933. Ils n'ont pas fait de grand plan national de révolte. Ils ont juste, à un moment où les dominants voulaient encore leur en mettre dans la gueule, dit "non". Fermement. Et ça a résonné à travers tout le pays parce que, justement, il y avait eu tout un travail de sensibilisation/éducation avant. Parce que ceux qui voulaient dire "non" aussi savaient où aller ou ne serait-ce que comment commencer à lutter, vers qui se tourner. Grâce au travail sans relâche des militants.
Ce que le militant effectue tous les jours peut sembler vain, déprimant d'inefficacité. Et pourtant, lorsqu'on prend le recul nécessaire à une compréhension globale des mécanismes sociaux, c'est ce travail de fond, quasi de fourmi, qui permet les plus grandes choses.
De manière plus pragmatique, il ne faut pas non plus s'arrêter de vivre pour militer, il faut parfois savoir relever la tête du guidon et souffler un peu, se ménager. Parce qu'un⋅e militant⋅e n'est pas un⋅e superhéro⋅ine et qu'effectivement, à ne pas relever la tête, on risque de déprimer sévèrement.
Savoir souffler, prendre du temps (et de l'argent) pour soi, c'est aussi revenir avec d'autant plus d'énergie qu'avant, ne pas être épuisé⋅e quand, enfin, les choses bougeront vraiment.
Le militantisme ne donne aucun super-pouvoir et repose uniquement sur des êtres humains. Ça serait dommage de l'oublier.
Au final, c'est un peu comme un exercice d'aérobic : militez, soufflez, militez, soufflez, militez....
(via ex0artefact)
C'est beau le progrès....
vomir
(via je sais plus)
"La première étude épidémiologique sur la santé mentale des personnes détenues, rendue publique mardi 7 décembre, estime que huit hommes détenus sur dix et plus de sept femmes détenues sur dix présentent au moins un trouble psychiatrique, la grande majorité en cumulant plusieurs."
Ô_Ô
La prison comme traitement des maladies mentales...
En France hein...
(le rapport date de 2004, mais comme tout le monde se fout du sort des malades mentaux, on a du mal à avoir des chiffres récents, forcément)
(mais il n'y a aucun lieu de penser que ça s'est arrangé)
"Vous n’aurez pas besoin du binaire pour vos tâches de Sys Admin"
Et mes masques de sous-réseau, par exemple, je les fais comment, du coup ? C'est pas directement du binaire, certes, m'enfin c'est très très très très lié. Et si tu veux pas trop te planter, t'as intérêt à être à l'aise.
(faudrait vraiment que Sam & Max arrêtent de parler de sysadmin en fait. Vraiment : https://www.mypersonnaldata.eu/shaarli/?hZXDfA )
^^
Huhu.
Moi je l'ai partout ! Moi je l'ai partout ! (forcément me direz vous ^^)
Mais c'est bien de le dire, en effet ! ^^
Pour déterminer si votre client TLS/SSL est assez sécurisé.
Pour Firefox, il est probable qu'il faille faire quelques petites modifications dans about:config :
Ensuite : impeccable :p
(via sebsauvage)
Ah. Oui. Bon.
Ça perd un peu l'esprit de la Loi du coup...
Je pose ça là.
(oh, au passage, comme c'est étonnant, Dieudonné participera à ce défilé de fafs)
Et oui, c'est ça le capitalisme : concentrer toujours plus de richesses dans toujours moins de mains.
Le solution n'est pas de redistribuer les richesses de manière plus équitable dans un monde capitaliste, comme le propose cette ONG, mais de fonder un autre modèle plus équitable À LA BASE. Les rustines, ça suffit.