Alors, évidemment, on réprime difficilement une sorte de satisfaction à voir ce type viré de l’entreprise qu’il a créée. Même si on sait que ceux qui l’ont mis dehors - parmi lesquels on compte Goldman Sachs - sont sans doute guère plus recommandables. C’est vrai que tant que les affaires n’étaient pas menacées, ils ne trouvaient rien à redire à la violence de Kalanick. C’est quand il se mis à craindre pour leur argent, qu’ils ont trouvé moyennes les méthode de Kalanick. C’est devenu inutile, que Kalanick a été viré.
C'est bien là tout le nerf de la guerre : ces gens là ne bougent que lorsqu'on s'attaque à leur pognon. Prenons leur le pognon !