Voilà. Au moins, comme ça, c'est plus clair pour tout le monde.
Heuuuuuu pas sûr DU TOUT que ça résolve le problème (genre dégradation de bien quoi, un chouïa).
Mais si le proprio garde la caution de 2000€ sans explication (alors qu'elle est obligatoire il me semble) en faisant le mort ensuite, j'avoue, ça me semble un peu légitime quand même...
(via Timo)
Wow. Y en a du monde. Ça fait plaisir :)
(via sebsauvage)
Intéressant. Une pierre de plus pour, peut-être, expliquer pourquoi les médias et gouvernants diabolisent tant les jeux vidéos, non ?
Parce qu'un peuple malin et éveillé, c'est dangereux...
Pas une seule fois dans l'article il ne dira que Linux est un OS libre, donc.
Pas une seule.
C'est ni un avantage, ni un inconvénient, c'est ça ? -_-'
Et parler de Linux en disant "vous ne trouverez pas toutes les applications propriétaires dont vous avez l'habitude" : U NO SAY ?!
Et en mode "certaines applications ont des versions Linux mais elles sont moins bonnes que les versions Windows ou Mac" : les alternatives libres marchent quant à elles TRÈS BIEN, merci bien ! Mais pas un mot, évidemment...
Pour le reste de l'article... de l'eau tiède sans intérêt, vraiment. Parler de Linux en 3 pauvres paragraphes sans citer un seul des fondamentaux, ça reste cependant un tour de force.
Alors j'ai un scoop pour toi mon coco : changer d'OS sans désir de changer ses habitudes acquises sur d'autres OS, ÇA NE MARCHE PAS. C'est une autre façon de penser, une autre façon de faire, une autre façon de travailler, c'est un changement structurel MAJEUR. Et devine quoi : ÇA N'A PAS À MARCHER COMME SOUS WINDOWS OU MAC !
Et si c'est pour pourrir une distro en installant au forceps un tas de merdier d'applications privatives, restez sur votre ancien système d'exploitation : ça vous empêchera de pester sur un système dont vous ne comprenez pas la philosophie et de déverser un tas de commentaires péjoratifs alors que le problème c'est votre résistance au changement (c'est pas "mal" en soi hein, je juge pas ; c'est juste que du coup, le problème, c'est pas l'OS).
Pour tout le reste, il y a une communauté énorme et sympathique qui sera ravie de vous assister.
(via Orangina Rouge)
Ahah, j'avoue que j'use et abuse de pseudos sur le net, un peu difficile de s'y retrouver ^^
Ce site exposant relativement visiblement mes nom et prénom, on peut les utiliser, même si je préfère l'usage de pseudos.
Pour les pseudos "officiels", c'est à dire que je rattache à mon identité civile, vous pouvez trouver :
LLM, Le Lapin Masqué, lap1.blanc, Le Cancre, Cartesis, MPD, ...
Pour les identités que je prends soin de dissocier de ma véritable identité, vous trouverez :
Bah non, faut pas rêver non plus, j'suis con, mais pas à ce point ^^
Enfin, du coup, c'est au choix.
.... ou pas !
J'ai jamais pu le pifrer, pour de nombreuses raisons, notamment tenant à son pacifisme qui, en gros, dit que si quelqu'un veut te tuer, tu dois le laisser te tuer comme ça il aura honte (sans déconner, c'est ce qu'il a dit aux Juifs qui tentaient de fuir les nazis et aux Anglais pendant la guerre).
Je savais pas pour son rapport aux femmes, et notamment à la sienne. C'est assez immonde.
Je l'ai jamais pris comme exemple. Et c'est pas près d'arriver.
(via Alda)
"Que les économistes ne comprennent rien à la réalité, j'en suis intimement convaincu. C'est probablement la raison pour laquelle je ne comprends rien à l'économie."
Benjamin Bayart
Haha, c'est un peu ça ouais ^^
Il y a un truc qui me fait marrer quand même.
Sur Wikipedia FR, on a globalement des articles plus pourris que sur le Wikipedia EN.
MAIS concernant les articles sur le porno, on est plus fourni que le Wikipedia EN (l'article "ass to vagina" n'existe pas).
L'honneur est sauf.
(non, ne me demandez pas comment j'arrive sur de tels articles Wikipedia)
Là tu fais la confusion entre "égalité" et "uniformité". L'égalité, la vraie, ce n'est pas "tous pareil", c'est "tous les mêmes droits et mêmes devoirs". De même qu'on ne libère personne de force, on n'impose pas à tout le monde d'être l'identique d'un autre. Les seuls changements autoritaires à faire doivent se faire sur celleux exerçant aujourd'hui une autorité injuste et inégalitaire.
Il n'est pas question, dans mon propos, d'empêcher toutes les personnes de produire soi-même un produit ou un service en plus en l'échange d'argent, d'autres biens ou services ou tout autre moyen de rémunération.
L'idée du revenu de base (je préfère d'ailleurs le terme "allocation de base"), c'est de donner à tout le monde de quoi vivre, point. C'est à dire d'avoir un toit, le chauffage, de quoi boire, manger, se vêtir et être propre.
Ensuite, lors de son travail libre, c'est à dire librement décidé et exercé, tout humain pourra, s'il le souhaite, vendre sa production ou ses services, au prix qu'il désirera. Ce qu'il faut voir, c'est réellement une autre organisation de la société sur la base de "on a d'office ce qui permet de vivre".
Pour bien comprendre, imaginons (enfin, prenons exemple). Le salariat est interdit. La possession de terrain ou d'habitation à titre privée est limitée à ce qui est humainement exploitable. C'est à dire que chaque personne souhaitant avoir une maison privée, un jardin privée, une propriété privée devra la gérer seul, sans salarié. Toute habitation ou propriété laissée à l'abandon sera reprise par la communauté.
À partir de cet instant, que se passera-t-il ? Aussi désireux de pouvoir et d'opulence que sera la personne qui réclamera une propriété privée devra la gérer seul. Il ne pourra donc avoir de propriété qu'à taille humaine. Le reste de la terre sera gérée collectivement. Les personnes qui apprécient les habitations communes vivront en commun, celles qui préfèrent leur petit "chez soi" l'auront tout autant mais sans priver la communauté de plus que ce qu'ils peuvent gérer.
Ce mode d'organisation a déjà été mis en place, lors de la Commune de Paris ou à une plus grande échelle sur toute la Fédération Espagnole.
La délégation de pouvoir sans possibilité de reprise directe est une des choses qui pervertissent tout système politique. Mais attention à l'exemple de la démocratie grecque : elle n'a été possible que parce qu'elle reposait sur l'esclavage et que les citoyens étaient, au final, peu nombreux. Il faut imaginer aujourd'hui d'autres formes démocratiques, loin des conceptions romanesques qu'on peut avoir sur "le bon vieux temps".
Ce en quoi Internet est merveilleux, c'est qu'il permet à tous d'accéder à une forme de culture et éducation populaire. Le fait est que quand je discute avec quelqu'un, en face à face, j'adapte le discours. Ce n'est pas possible lorsque je publie ici, fatalement.
Les "mentalités", c'est pas le problème. Le nerf de la guerre, c'est la diffusion.
Votez pour la personnalité "Tech" de l'année sur HN.
Moi je dis, Edward Snowden mérite bien ça, non ?
Ou Aaron Swartz, en hommage.
Par contre, il n'y a pas Chelsea Manning dans le lot ? :(
Ouh, je vais essayer de répondre de manière assez simple et court à un sujet qui est très complexe. Malheureusement, je ne peux pas faire l'économie de poser un peu certaines bases. Ça risque d'être long.
Déjà, commençons par éliminer les éléments personnels qui pourraient interférer. Je fais un travail salarié qui me plaît et qui me va, pour lequel je suis relativement assez justement payé par rapport à ce qui se fait avec un patron humain et pas trop con. Étant privilégié, si le boulot que je fais ne me plaisait pas, j'en changerai sans trop de difficulté. Voilà pour le contexte. Pour le vocabulaire, lorsque je vais parler du patronat, je vise essentiellement le Grand Patronat et moins l'entrepreneur qui porte un projet d'entreprise depuis le départ jusqu'à parfois jouer sa propre vie dans l'affaire.
Il n'est pas besoin d'être marxiste (c'est à dire défendre la thèse de Marx) pour comprendre et utiliser les outils d'analyse et définitions qu'il a laissé.
Il n'y a déjà pas "un travail", mais plusieurs. En réalité, il en existe 3 grands types : le travail libre, le travail subordonné et le travail forcé. Ce dernier est presque entièrement interdit en Europe.
Le travail subordonné, ce n'est pas uniquement le salariat ou un concept de travailler dans une hiérarchie, mais c'est un travail subordonné à une production (de bien ou de service). Le travail subordonné, c'est ce qu'on appelle généralement "l'emploi" : on effectue un travail dans une optique de production et de vendre cette production, en général dans le but dans tirer un profit.
Le travail libre... C'est, grosso modo, tout ce qui n'est pas défini par les définitions ci-dessus. Un retraité est un travailleur libre, le bricolage est du travail libre, le militantisme c'est du travail libre, etc.
Actuellement donc, ce qu'on appelle "le travail" c'est uniquement le travail subordonné, l'emploi, l'aliénation à une production. En dehors de cette définition, le travail n'est pas reconnu. Et ça me pose problème, notamment parce que cette non-reconnaissance et le fait d'ériger le travail subordonné comme "seul vrai travail" permet d'attaquer directement le travail libre, comme c'est actuellement le cas pour les retraites.
Le salariat est une des formes du travail subordonné. Il est doublement subordonné, au final : subordonné à une production et à une hiérarchie. C'est un travail aliénant : le contrat de travail est l'aliénation totale du salarié au patron. Le Code du Travail est là pour définir les bornes au contrat de travail, pour protéger le salarié dans cette aliénation. C'est le premier et le dernier rempart. Et là encore, il est attaqué, régulièrement, de toutes parts, par le grand patronat. Pourquoi l'est-il ? Parce que le profit est antagoniste au salaire. Et que le salaire est uniquement défendu par le Code du Travail (en France), notamment par la défense de l'idée qu'une heure de travail, quel qu'il soit, ne peut pas être payé en dessous d'un certain niveau, normalement indexé sur l'inflation.
Qu'est-ce que le salaire, d'ailleurs ? Quelle est sa nature ? Si tu demandes aux gens dans la rue, ils te diront que le salaire représente la valeur de leur travail. C'est faux. Le salaire est la PARTIE RÉMUNÉRÉE DU TRAVAIL. La valeur réelle du travail salarié, c'est combien le patron vend cette force à ses clients. La différence entre le prix de fabrication (frais de structure et salaires, grosso modo) et le prix de vente, c'est le profit. La principale variable d'ajustement pour augmenter le profit, surtout lorsqu'on ne peut augmenter son prix de vente comme dans le cadre d'une crise, c'est le salaire. Et ce de plusieurs manières.
Car le salaire, ce n'est pas seulement le salaire net, c'est à dire ce qui tombe dans la poche du salarié à la fin du mois. Ça c'est ce qu'on appelle le salaire DIRECT. Une autre partie du salaire se retrouve dans ce que tout le monde appelle "les charges patronales" (en utilisant ainsi le terme "charge" on se rend bien compte de la perception qu'ils ont de leurs cotisations hein) : c'est ce qu'on appelle le salaire INDIRECT. Il sert à financer l'aspect social de la société, la sécurité sociale principalement, mais pas que.
On peut commencer à voir donc ici ce que je peux reprocher au salariat :
Parlons donc désormais, rapidement parce que ce post commence à être long, du revenu universel et du travail 2 heures par jour.
Déjà, il y a plusieurs revenus universels. Dans l'idée que je défends, ce revenu est dépendant de la valeur produite et de la valeur en circulation. Et pas forcément basé sur l'argent, d'ailleurs. L'idée donc que l'argent sortirait de nulle part ou que ce serait un système qui irait droit à l'effondrement est balayée : c'est un système structurellement équilibré à la hauteur de l'effort global, passé et actuel.
Sur l'aspect "utopique", je ne répondrais qu'une seule chose : prends une machine à voyager dans le temps, remonte au XVIIe siècle et va leur dire qu'en France, tous les humains sont libres et que le peuple est appelé tous les 5 ans à choisir son "roi". (bien que je ne sois pas républicain, ça risque quand même de leur faire tout drôle)
La notion de "travailler 2 heures par jour" reflète le fait que l'ensemble du travail nécessaire à la bonne marche de la société ne nécessite que 2 heures par jour et par habitant (si on prend toujours comme référence une semaine de 5 jours). Cela fait, grosso modo, 2 mois 1/2 de travail à "cadence normale" par habitant. Plus de chômage. Et une société qui continue de tourner. Le reste du temps ? Temps libre, travail libre.
Il y a tellement de sujets et de notions à aborder... Je vais m'arrêter là, ça fait déjà une bonne première étape ^^
(désolé à celleux qui connaissent déjà le sujet et qui voient mes raccourcis grossiers ; ils restent néanmoins adéquats, mais perdent une partie de nuance, forcément)
Ce qui m'étonne, moi, c'est que ça vous semble nouveau.
Ça n'a RIEN de nouveau. Dans les années 30, lorsque Daladier déclare qu'il faut "mettre fin à la semaine des deux Dimanches" alors qu'il n'y avait déjà pas assez d'emploi pour tout le monde, c'est quoi à votre avis ?
L'opposition du patronat aux 40, 39 puis aux 35 heures, aux congés payés, et même à la sécu depuis leur création, vous croyez que c'est pour quoi ?
Vous croyez que le "travailler plus pour gagner plus" il sort du cul des vaches ?
La "culture du travail" n'a RIEN de récent. La fausse valeur sacrée "travail" n'a RIEN de récent. L'injustice du "monde du travail" et du principe même du salariat n'est RIEN de récent.
L'article commence ainsi : "Il était une fois, le travail était quelque chose que vous faisiez dans le but de financer le reste de votre vie". Quand ? Quand la semaine de travail était à 48 heures ? Quand il n'y avait pas de congés payés ? Quand le patron s'octroyait, en toute impunité, le droit de vous virer parce que vous n'étiez pas de bonne moralité ?
Un tout petit peu de culture historique sur le travail ne ferait pas de mal. Ça empêcherait d'avoir des articles aussi cons.
Même si je ne nie pas ce que dit l'article, cela n'a RIEN de nouveau. Présenter ça comme exceptionnel, "nouveau", "on ne sait pas comment faire", c'est non seulement crétin, mais c'est aussi DANGEREUX.
On sait comment lutter contre ça : se regrouper, et lutter, ensemble, pour de meilleures conditions de travail.
Ah merde, l'article n'en parle pas.
(via plein de monde)
"Le DRM ultime" ^^
Ça va juste être plus chiant à contourner. Et, là encore, les seuls que ça fera chier, ce sont ceux qui achèteront ces contenus légalement ou qui ne sauront pas bidouiller leur téléviseur/console/système multimédia.
D'où l'intérêt de comprendre et s'approprier la technologie, et d'utiliser des systèmes libres.
(via sebsauvage)
"Il était une fois Internet", l'histoire et la technique d'Internet en plusieurs conférences. À voir.
(via jeromej et sebsauvage)
Oui, alors, bon, du coup, comment dire...
Utiliser "class" au lieu de "struct", je sais pas si c'est répandu, mais il me semble que c'est mal comprendre ce qu'on fait, au final.
(et "struct" c'est vraiment un truc qui me manque en PHP, sérieux)
Pareil, une popup modale à l'ouverture du site, ou après le début du scroll ?
J'arrête de lire et je me casse.
(Avec Ghostery et ABP, aucun sous reversé en plus. Et pour le coup, ça ne me choque pas du tout : ça m'enchante.)
(Ceci dit, j'ai remarqué que certains sites sur lesquels je partageais du contenu sont blindés de pubs en tout genre. Désolé, comme je les bloque, je n'avais pas réalisé, j'essayerai de faire plus attention.)
(via sebsauvage)
Je suis profondément anticlérical, dans la vision que j'ai d'une société idéale. C'est à dire contre tout clergé, source d'oppression par l'ignorance et l'obscurantisme. Ceci est nécessaire, à mon sens, si on veut créer une société libre.
Je suis anti-religieux, à titre purement personnel. Je ne reconnais aucune religion comme m'étant supérieure ou légitime à me donner des ordres. Croire en un ou plusieurs dieux, entité(s) supérieure(s) immatérielle qui nous récupérerait après la mort, je trouve ça profondément ridicule et naïf. Ce n'est qu'un avis personnel qui n'a pas à être imposé à qui que ce soit. Je discute de cet position avec des pratiquants ou croyants qui vivent bien leur religion et sont ouverts à ce genre de propos. Les discussions théologiques peuvent être très intéressantes et je crois qu'au final, elles permettent de faire reculer l'obscurantisme.
Je reconnais les oppressions qui existent, des clergés sur leurs ouailles et des croyants/pratiquants de différentes religions entre eux. Et s'il est évident qu'on ne peut faire l'économie de lutter contre les religions, cela ne doit pas se faire au détriment des premières "victimes" de l'obscurantisme religieux, les croyants et pratiquants. On ne libère pas de force, jamais.
Enfin, de manière plus terre à terre, je me raccroche encore à cette phrase : "on peut douter de tout, sauf de la nécessité de se trouver du côté des opprimés". Je continuerai donc d'apporter mon soutien à toute personne qui se fera persécuter pour sa religion.
Et à titre purement personnel, voire intime, je ne suis pas religieux, mais je ne suis pas dénué de spiritualité : http://www.mypersonnaldata.eu/blog/index.php?d=2013/05/18/22/26/01-ma-spiritualite
(via Alda)
Comme le dit HowTommy : JE FAIS CE QUE JE VEUX AVEC LE MATÉRIEL QUE J'ACHÈTE.
Je n'achèterai donc pas de PS4 (en même temps, j'avais pas vraiment prévu de le faire).