Une fois les prix actualisés, les consoles "Next-Gen" ne sont pas si chères.
(1125$ la NeoGeo quoi Ô_Ô)
"Je dirais qu’avoir l’air de travailler dur est souvent un signe d’échec."
Il n'y a pas que dans le développement logiciel.
Installer, configurer et maintenir un système d'information en conditions opérationnelles souffre du même regard. Lorsque je passe une nuit ou un week-end sur un sujet, c'est pour une opération complexe qui demande une interruption de service trop longue pour passer inaperçue.
La dernière fois que c'est arrivé, cependant, c'était pour un problème connu et qu'on avait commencé à anticiper, avec plan d'action, etc. L'étude d'impact était en cours d'élaboration et la mise en œuvre devait s'effectuer dans 3 mois (après des tests sur un réseau indépendant pour les éléments les plus critiques). Sauf que le problème est survenu bien plus rapidement (en raison d'un bug normalement mineur) et il a fallu intervenir dans l'urgence.
Et effectivement, à courir partout, faire le pompier, bosser jusqu'à pas d'heure.
Il y a des boulots comme ça, où lorsque c'est correctement fait et que tout va bien, bah ça ne se voit pas. Et lorsqu'il y a un problème, ça fuse dans tous les sens.
Et du coup, quand ça fuse dans tous les sens tout le temps, le problème est (peut-être, mais pas que) un problème de compétence. (il peut aussi s'agir d'un problème structurel, de hiérarchie non-adaptée au métier, d'outils trop vieux, etc.)
Sauf qu'on ne paye que quand ça fuse.
Lorsque je travaillais pour une grosse industrie française, j'ai croisé une personne qui restait jusqu'à pas d'heure, justement. Le boulot était fait, et lorsqu'un jour je lui ai demandé si elle était surchargée de boulot, elle m'a répondu que non, ça allait vraiment, c'était tranquille. Devant mon étonnement de la voir à son poste avant moi et toujours à son poste lorsque je partais (je n'avais pas le droit aux heures supp' de toute façon donc j'allais de toute manière pas en faire hein ^^), je lui ai demandé. La réponse est sans appel : "il n'y a que comme ça qu'on croit que je bosse et en plus je suis payé plus".
Cette personne en question avait pas mal d'ancienneté et il faut comprendre son parcours. Elle a essayé, lors des entretiens annuels, de défendre son travail, de dire et démontrer qu'il était bien fait, dans les temps, et qu'une augmentation était justifiée. Sauf qu'on lui sortait toujours l'exemple d'Untel qui restait jusqu'à 23h, de Machin qui ne prenait même pas de pause. Alors elle a compris ; elle a fait en sorte que son boulot soit reconnu par sa hiérarchie.
C'est moche hein ? Faire semblant, mentir, avoir l'air, pour que son travail soit reconnu à sa juste valeur. Et pourtant, je pense que si j'étais resté dans cette entreprise, j'aurai fait exactement la même chose. Parce que la hiérarchie, elle en a rien à carrer, en définitive, que votre boulot soit bien ou mal fait. Elle se base sur ses indicateurs à elle, qui n'a rien à voir avec le métier. Et elle ne reconnaît pas les indicateurs objectifs permettant d'évaluer votre travail. L'humain devient pure ressource, objet dont on ne reconnaît pas la vie, et vous êtes géré comme tel. Vous n'êtes qu'un "potentiel" qui doit s'effectuer selon la vision de votre hiérarchie plus ou moins directe. Et votre vie personnelle, votre façon de concevoir votre travail, voire même votre façon de l'améliorer, ne sont que des parasites.
C'est une partie de ce que je reproche au salariat de manière générale.
"Peut-on vraiment se dire administrateur système si on ne se pose même pas la question « y a-t-il d'autres possibilités ? »."
Non.
Et ça a l'air super intéressant Knot...
Un avocat retrouve dans les souvenirs de famille un Code Civil de 1944 (donc publié en 1943) où il y figure, en toutes lettres et en français, la mise en œuvre de la Shoah.
(via Sammy)
Internet EST le P2P.
Internet EST décentralisé.
Internet EST résistant à la censure.
C'est dans sa conception même. Internet est indestructible, il a été conçu comme ça.
Et TPB va le démontrer.
:)
"Cette nouvelle méthode de navigation devrait être proposée dans le courant 2013 en bêta" -> 2014 peut-être, non ? ^^
Je suis fan de Mass Effect.
Il y a vraiment une profondeur scénaristique qui change totalement les possibilités et la façon de jouer. Effectivement, on ne joue pas les classes de la même façon (ça c'est normal) et, donc, on ne choisit pas son commando de la même façon (j'ai joué un porte-étendard dernièrement, et bien tu ne prends pas les mêmes coéquipiers qu'un soldat, et j'imagine que c'est pire lorsque tu joues ingénieur). Du coup, les dialogues en combat ne sont pas non plus les mêmes.
Les choix influencent grandement l'ensemble du jeu : des quêtes sont accessibles dans le 2 ou le 3 uniquement si vous avez fait quelque chose (parfois insignifiant) dans le 1 ou le 2. Le choix entre la voie pragmatique ou de conciliation (il n'y a pas de "bien" ou de "mal", mais des façons différentes d'accomplir la mission) influencent aussi beaucoup les possibilités.
Les quêtes annexes ne sont pas non plus à négliger. Elles peuvent débloquer des ressources importantes pour la victoire finale, mais aussi donner des indications précieuses sur la compréhension de l'univers de Mass Effect et des Moissonneurs, leur but, leurs origines...
Oh, et sinon, il y a moyen de faire en sorte que Shepard survive ;)
(après, il y a plusieurs défauts, mais le côté épique de toute la saga les comble largement)
Oui, après l'avoir posté, je me suis rendu compte que je ne l'avais jamais écrit sur un site à moi.
Du coup faut que je le fasse. Mais en gros, la théorie keynésienne a été servie aux gens pour leur faire croire qu'il était possible de redistribuer équitablement les richesses dans un monde capitaliste libéral, mais n'a jamais été appliqué (évidemment).
C'est vendeur parce que "c'est du bon sens", mais c'est un miroir aux alouettes : la base du modèle keynésien reste le capitalisme, dont la mécanique générale concentre les richesses (et le pouvoir) entre les mains d'une minorité.
Cette minorité est de plus en plus réduite d'ailleurs. En France, on passe des 200 familles de 1800, aux 30 de la synarchie de 1930 pour finir aujourd'hui au Conseil du Siècle de 16 personnes.
Mais là je digresse. ^^
+1
(et ce n'est pas "qu'un peu sexiste" ou "un peu raciste" ; ça l'est, entièrement)
Ah oui, les arnaques sont assez sophistiquées (mais toujours avec des fautes d'orthographe, comme quoi, savoir écrire assez correctement français, ça sert, hein ;)).
Voilà voilà. L'aspect juridique et une analyse personnelle, que je rejoins.
Le fait d'être considéré comme "pas doué en informatique" du simple fait de son genre EST une stigmatisation. Tu ne peux pas demander à une femme "de ne pas se sentir stigmatisée" alors que, concrètement, elle l'est.
"Il ne faut pas [...]" ça s'appelle du mansplaining, c'est une dire qu'un homme, de fait dominant, explique à une femme, dans les faits dominée, comment réagir face à cette domination. Et ça participe de la mécanique d'oppression.
Le changement d'attitude ne doit pas venir des femmes, mais de nous, les hommes.
À titre personnel, mais chacun a sa méthode, je considère qu'un humain moyen doit avoir des connaissances que j'estime moyennes dans plusieurs domaines dans lesquels je suis un peu plus formé : l'informatique, l'électronique, l'électricité, la physique, la robotique, etc. Lorsque je discute avec une personne, quel que soit son genre, j'estime qu'elle a ces connaissances moyennes (elle sait ce qu'est un ordinateur, a déjà joué à un jeu vidéo, elle sait ce qu'est Internet et/ou le web, etc). Lorsque je sors de ce cadre (soit je m'adresse spécifiquement à une personne que je sais totalement béotienne, soit je m'adresse à quelqu'un ayant une connaissances plus étendue, bref, je connais un peu la personne) j'adapte mon discours.
En aucun cas je ne le fais en fonction de son genre (enfin il me semble, il est assez difficile de se débarrasser de dizaines d'années "d'endoctrinement").
Je ne dis pas que ma position est la bonne, l'unique, la parfaite, ou quoi, c'est juste la mienne, et elle me semble bien plus englobante et respectueuse.
En revanche, pour avoir réfléchit et écouté les opprimées en question sur ces questions, justement, je sais qu'en tant qu'homme, je n'ai pas à expliquer à une femme comment elle doit vivre son oppression. C'est compliqué à intégrer quand on a des privilèges dont on n'a pas forcément conscience. Mais c'est absolument nécessaire quand on prétend lutter contre le sexisme (ou toute autre forme d'oppression hein, on ne combat pas une oppression au détriment de la parole et de la volonté des opprimé⋅es).
C'est à dire qu'en fait le cliché participe à l'oppression raciste/sexiste/etc.
Donc, non, il ne faut effectivement pas confondre : c'est la même chose.
("on ne peut plus rien dire" n'est pas un argument valable lorsque 99% de la société dit exactement la même chose)
Tiens, je vais essayer ça :p
(via je sais plus, encore sorry ^^')
Faut toujours que j'envoie la photo de mon cadeau reçu. Désolé désolé désolé...
"Je lui aurais bien sauté à la gorge, mais ça serait passé pour une agression sexuelle vu que c'est une femme."
Heu, non... Ça serait passé pour une agression, point. Je vois pas en quoi le fait que ce soit une femme caractérise "l'agression sexuelle"...
Sexisme ordinaire. Même quand on est un gros grincheux.
Je pose ça là ; même si je savais, ça peut toujours servir.
Dans ta gueule Bourdin.
Voici donc l'état du journalisme en France.