Heuuuuuuuuu.

Une review (putain de bien faite, je suis ultra-fan de la comparaison des deux manettes) de la Xbox One.

Voilà.

"maintenant" : ça date de 2010 tout de même ^^

C'est pas faux.

Enfin, appliqué à ma propre situation, les impôts vont me prélever l'équivalent de mon augmentation. Sans compter l'inflation.

J'ai rien contre le fait de payer des impôts. C'est juste de voir à quel point cet argent est gaspillé, donné aux plus riches, qui me fait gerber. Où est l'aide à l'emploi des jeunes ? Où est la revalorisation des retraites ? Où est l'écologie ? Où est la justice ? Où est l'éducation ? Où est l'aide aux PME-PMI ? Où est l'aide à l'innovation ? Où sont les emplois sauvegardés par les baisses drastiques des prélèvements sur les grosses entreprises ?

Nulle part.

En attendant, mes impôts augmentent, et les cadeaux aux plus grosses sociétés continuent d'exister. Quand une société peut faire des millions, voire des milliards de bénéfices en payant ses salariés français au SMIC et sans payer un seul euro d'impôt.

Mon ras-le-bol à moi, il est là.

Ooooh, pas mal du tout ! :)

(via sebsauvage)

Un employé en télétravail demande l'accès à un serveur depuis chez lui. Comme il y a un pare-feu, forcément, il faut autoriser nommément son IP.

On lui demande donc son IP de chez lui.

Il faut donc rajouter 192.168.0.34 à la liste des IP autorisées.

Si.

XD

(oui je me moque, j'ai le droit, #BOFH)

Excellent ! C'est donc ça ! XD

(via Timo)

Ouais, Shaarli offre une valeur ajoutée.

Le monsieur n'est pas content parce qu'il a un clic de plus à faire.

Tant pis pour lui, il se trouve que la personne qui partage un lien le fait de la manière dont elle le veut.

Oui, mais par rapport à ce qu'ils subissent ailleurs, c'est une évolution notable.

C'est très très loin d'être top, mais c'est déjà un bon début.

On recherche donc un homme au visage flouté. Si vous l'apercevez, prévenez immédiatement la police. N'agissez pas seul.

(oui, je sais, c'est pour des droits à l'image, etc. mais ça me fait marrer qu'on floute le visage d'un mec recherché par toute la police de Paris et alentours ^^)

Du 18 au 24 Novembre, c'est la semaine nationale pour l'emploi des personnes handicapées.

Dès demain, donc, vous pourrez retrouver des vidéos marrantes, ludiques et intelligente sur le thème du handicap au travail de la série 4. Les 3 premières séries sont déjà disponibles.

(ou si vous êtes partenaire, vous pouvez dès à présent voir les vidéos complètes)

Conséquence directe de ça : http://mypersonnaldata.eu/shaarli/?bKq-dA

Dis moi François (Hollande), ton engagement sur l'emploi des jeunes, tu compte le tenir comment maintenant ?

Connard.

(via Shetaya)

Réflexion très intéressante mais qui impose aussi une forme de contrainte technique en entreprise, que je connais assez bien du coup : le RSO/SSO (Reduced Sign On/Single Sign On).

En entreprise, comme dans la vie privée, il est difficile de former les utilisateurs à la sécurité : ils veulent quelque chose de fluide, sans prise de tête. Et si ça les fait chier, ils trouveront des moyens de contourner, à leur échelle, en se prenant la tête le moins possible. En effet, on tombe ainsi dans l'exemple donné : on note les mots de passe sur un cahier, un post-it ou, dans la version plus "sécurisée", un fichier texte sur le bureau.

La responsabilité de la sécurité, au quotidien, est une notion lointaine. Un employé lambda n'imagine pas être la source d'une fuite. C'est pourquoi il faut rappeler, de manière régulière, les règles élémentaires de sécurité.

Mais aussi, et surtout, déployer un SI qui ne prête pas le flanc à de telles pratiques. Un login/pass unique pour toutes les applications de l'entreprise est le minimum. Une authentification unique c'est génial. Si cette authentification est effectuée dès le login sur le poste de l'utilisateur c'est encore mieux, mais ça retire une partie de la flexibilité lorsqu'un utilisateur va assister ou faire des tests sur le poste d'un collègue, avec les données du collègue mais les droits de son compte sur une application web par exemple.

On ne peut pas tout mettre sur le dos des utilisateurs, une (grosse) partie de la sécurité du SI incombe à ses administrateurs, et ils doivent prendre en compte les comportements naturels de leurs utilisateurs (ça rentre en plein dans la gestion des risques humains hein). Aucun salarié béotien ne retiendra 15 mots de passe différents pour son boulot. Il peut en retenir 2 (session du PC + authentification intranet par exemple), 3 grand maximum, pas plus. Au SysAdmin de faire en sorte qu'ils n'aient pas à en retenir plus.

Cela passe, notamment, par le refus de déployer une solution ne s'intégrant pas au RSO/SSO de l'entreprise. Y compris en SaaS.

C'est donc là la limite : un béotien ne retiendra pour son boulot que 2 mots de passe, 3 grand maximum. Deal with it.

...

Les associations ont pris de violents coups sous Sarkozy, Hollande va-t-il les achever ? Apparemment, il en prend la voie.

Enfin, pas toutes hein. Les petites protégées de l'État (OLF, SOS Racisme, etc.) continueront d'aller bien... Et de se foutre du sort des plus petites structures et des personnes qu'elles aident.

(via sebsauvage)

"et du cul".

J'avais loupé l'article sur la sodomie : http://sametmax.com/sol-do-mi-sol-do-mi-sol-do-mi/

Bon, ça reste des grandes lignes, une idée générale, etc. Comme pour chaque partenaire, de toute façon, il faut apprendre l'autre.

En revanche, je suis 100% d'accord avec : "si vous avez des amis LGB extravertis, demandez leurs des conseils, ils sont simplement meilleurs que vous au pieu". C'est un fait, il n'y a que rarement meilleur suceur qu'un mec. Mais le sexe n'est pas une compétition, et donc le partage de connaissances ne peut pas faire de mal ^^ (et si ça peut mettre fin au culte de la performance, c'est pas plus mal non plus)

Ayez confiance en la police qu'on vous dit !

Extrayez votre ADN à la maison :)

J'ai explosé de rire, je m'attendais pas DU TOUT à ça XD

Oooooooh c'est mignon !

(ouais, c'est guimauve et fuck le mariage, la télé, tout ça, mais du gnangnan normé j'ai le droit le Vendredi mon toubib il a dit)

(je me demande s'il y aura un jour une demande de mariage par Shaarli interposés ? ^^)

Ah yes !

J'aime beaucoup RainTPL, même si j'avoue qu'en effet le développement est un peu au point mort :(

C'est COMPLÈTEMENT ça !

(via Timo)

Un fractal peut-il être NSFW ?

Apparemment, oui.

(faut cliquer sur l'image pixelisée pour bien voir)

(via sebsauvage)

Acheter une maison. Découvrir un passage secret derrière la bibliothèque. Trouver une pièce cachée. Jusque là, cool.

Retrouver les paquets de bonbons que vous aviez acheté pour Halloween. Réaliser que quelqu'un vivait dans vos murs.

...

GET FUCKING OUT OF HERE !

(via sebsauvage)

Je vois certain⋅es camarades avoir un peu ce sentiment aussi. Dans ces instants de cristallisation de la société (augmentation des tensions jusqu'à la rupture, mécanisme d'un système en crise), on peut très vite se sentir découragé⋅e, surtout lorsque la pensée dominante est "le syndicalisme ne sert à rien", "de toute façon c'est comme ça" et "les partis, c'est tous pourris".

Je suis moi-même passé par un certain nombre de ces périodes, d'autant plus facilement que je suis en dehors de toute structure militante organisée, un solitaire, une "force d'appoint"... Ce statut me permet en revanche de réellement apprécier une manifestation, où j'y croise des gens que je n'ai pas vu depuis un moment (ces vrais militants engagés et encartés), où je prends des nouvelles, etc. Où je me sens un peu coupable, aussi, de les voir dépenser une énergie folle à longueur d'année quand je garde le luxe de le faire quand je veux.

Ces petits instants de la vie quotidienne, aussi, où tu entends quelque chose de sexiste, raciste, xénophobe, que tu vas pour répliquer et que finalement tu te dis "bah, à quoi bon ?". Tu sais qu'il faut combattre, tu connais les implications de laisser ces idées se répandre, mais que finalement, non, pas cette fois, parce que pffffff. Je dis "entendre" parce qu'il est plus rare de ne rien faire lorsqu'on voit une action.

Et puis, évidemment, les copains et les copines traqué⋅es, tabassé⋅es, tué⋅es parfois dans l'indifférence générale, voire agrémenté d'un "ille l'avait un peu cherché aussi". Et cette connaissance historique que ça ne va pas aller en s'arrangeant, qu'il y aura de plus en plus de blessé⋅es, de mort⋅es, et qu'ils seront majoritairement "de ton côté". Et que les coups les plus rudes sont à venir.

Il y a de quoi déprimer, baisser les bras, tout envoyer au Diable.

Heureusement, l'Histoire permet aussi de garder espoir et joie. Par exemple, en 1936, alors que le syndicalisme était au plus bas des dernières années, avec des mouvements sociaux mous, que le patronat pensait les travailleurs à sa botte (puisqu'il y travaillait très activement, en collaboration avec l'ennemi, depuis 1932), d'un coup, pour une connerie, le mouvement s'est emballé, laissant une marque de "bonne année" à celleux l'ayant vécu.

Si la colère est nécessaire au militantisme, on oublie par trop souvent la joie que cela peut apporter aussi. La joie de la lutte, d'abord, c'est à dire ce sentiment de se battre pour quelque chose de juste. La joie de la victoire, ensuite, qu'il est important de garder à l'esprit, même pour les plus petites batailles. La joie d'être ensemble enfin, se regrouper malgré nos différences pour lutter ensemble dans l'espoir d'un monde meilleur.

Le militantisme, quelle qu'en soit sa forme, nait de la colère, celle de ne pas vouloir laisser des gens dormir dans la rue, ne pas manger à leur faim, être maltraité, souvent pour des raisons de couleur de peau, de genre, de sexe, de frontière ou autre différence ; soit qu'on en soit soi-même victime ou qu'on ne tolère pas que cela se fasse.

Mais c'est aussi beaucoup de joie, souvent très vite oubliée tellement le combat peut sembler rude. Et résister, c'est effectivement aussi se mettre en joie contre cette noirceur dans laquelle on peut tous très vite tomber.