Un bookmarklet pour donner un "flat design" à n'importe quel site web.

Ça peut servir. Si.

Pareil, mon nouvel e-mail semble arriver dans les spams des produits Microsoft.

J'ai une IP fixe mais pas encore configuré d'enregistrement SPF.

C'est mon outils de travail.

Si.

C'est une bien belle citation. Si seulement elle pouvait s'appliquer au vrai monde...

Le fait est que tout le monde ne peut pas vivre de sa passion. Premièrement parce que tout le monde n'a pas de passion. Deuxièmement parce qu'une passion ne peut pas forcément être rémunérée. Troisièmement parce que professionnaliser sa passion ne convient pas à tout le monde, on peut avoir une passion sans rigueur. Quatrièmement parce que dans le cadre d'un travail salarié, un patron n'a pas la même vision que toi, ne te donnera pas forcément que des tâches qui te plaisent, etc. Ou même un client (celui qui te paye). Et tout un tas d'autres raisons.

C'est pour cela que vouloir vivre de sa passion, c'est bien, mais ça ne permet pas de construire un modèle de société.

La valeur "travail" est souvent érigée comme valeur sacrée, ou prétendument sacrée (parce que ceux qui veulent la sacraliser sont souvent ceux qui ne foutent rien et vivent du travail des autres ; comme pour un clergé classique, en fait). Et je ne suis pas d'accord.

Si le travail rend effectivement libre, c'est au sens où Descartes l'entendait, c'est à dire comme maître et forgeron de la Nature, c'est à dire maître de sa propre condition (ce qui est une définition de la Liberté). Mais on est très loin de cette conception. Comme Marx l'a montré, l'organisation du travail telle qu'elle est faite aujourd'hui (je dis aujourd'hui en parlant de Marx car même s'il est mort, l'organisation du travail et les rouages du monde restent les mêmes) est une aliénation à la production. Du coup, c'est dans le temps de "non-travail" que peut se trouver la liberté et, de fait, l'exercice plein et entier de son éventuelle passion.

De fait, donc, vouloir travailler dans le domaine de sa passion est un bel objectif, mais ce n'est pas possible pour tout le monde, d'autant plus dans le mode d'organisation du travail actuel, dévoyant le concept de "travailler pour sa liberté" (qui est en fait une notion proche du travail commun pour une liberté commune) et la transformant, via la sacralisation du travail, en "travaille pour ta liberté", individualisant le concept, permettant ainsi l'aliénation et, donc, l'oppression.

Bien penser le travail ne peut se faire qu'à un niveau global, prenant en compte tous les individus et non la volonté de quelques élus.

Il y a une méthode très simple pour savoir si une idée, un concept, une citation est applicable à tous. Il suffit d'imaginer l'appliquer à tous. Si le monde peut continuer de tourner comme ça, dans le respect égal des individus, alors c'est potentiellement une bonne idée. S'il faut laisser des individus sur le côté, même si c'est un seul, alors c'est une faveur, un privilège, pas de l'égalité.

Vouloir que tout le monde vive de sa passion, c'est un privilège. Ce n'est pas pour autant qu'on doit interdire de vivre de sa passion hein. Mais vouloir cette idée comme but ultime de l'Humanité est hautement questionnable.

Un peu de lecture sur la question qui peut être intéressante : Travailler 2 heures par jour, du collectif Adret : http://www.amazon.fr/Travailler-deux-heures-par-jour/dp/2020050773

Pour contexte : une de mes passions est effectivement l'informatique et ce qui touche notamment au réseau. Je travaille dans ce domaine, en tant que salarié. Pour autant, ma passion ne s'épanouit pas dans mon métier. Je fais des choses qui me plaisent, souvent, des choses qui me plaisent moins, parfois. Mais je ne suis pas libre d'exercer ma passion comme je l'entends. J'ai un patron, qui a des objectifs de rentabilité que je partage lorsque je travaille pour lui mais que je ne partage plus lorsque je suis en dehors du travail. Les quelques pauvres bouts de code que je ponds dans ma section "Downloads" par exemple, n'ont aucun objectif de rentabilité.

Je m'arrête ici, c'est déjà assez long ^^

Ça fait plaisir.

Quant aux députés de l'UMP : on n'oubliera pas que vous ne vous êtes pas levés contre le racisme, ne vous inquiétez pas.

Dans le cache Google, on a la page.

(merci Gilles !)

HAHAHAH ! Pourquoi vous avez des pixels morts ? Explication.

:D

(via je sais plus qui, Orangina Rouge je crois)

Ohoh...

Le site wallbase.cc pourrait fermer : le domaine expire dans 3 mois et le propriétaire du site n'a pas été vu en ligne depuis plus de 2 mois :/

Il est temps de faire une copie de chaque wallpaper du site...

(via sebsauvage)

Une réflexion intéressante sur le sujet. Bien qu'au final, le problème vienne surtout de la pression sociale qui pousse à une seule forme de relation (le couple exclusif, hétérosexuel de préférence).

De fait, il est difficile de se définir lorsqu'on a été déçu par ce modèle et qu'on n'a pas de réflexion ou de recul sur le sujet : et si, finalement, la forme de relation qui me convient n'était pas le couple tel qu'il est défini ?

J'ai l'impression d'un moment charnière où le couple tel qu'on le connaît montre ses limites : il ne convient pas à tous. La libération sexuelle est certainement un des moteurs de cette "prise de conscience latente".

L'alternative, ça demande définir (ou pas) nos relations. Pour cela, les mots peuvent aider, du moins à poser certains repères. Perso, j'utilise "amant⋅e", "régulier⋅e", "sexfriend", etc. pour représenter le niveau d'implication et les éléments consentis/acceptés dans la relation.

S'il ne s'agit pas d'une nomenclature fixe, elle a le mérite de poser des mots, des repères, sur ce qu'il est difficile de définir.

Ce que l'auteur appelle "désolation", "grand vide" est un mal, quelque chose qui, quelque part, ronge. Et comme pour tout mal, il faut commencer par y poser des mots, aussi imparfaits soient-ils. Pour peut-être redéfinir ce qu'est le couple lui-même.

(via David)

Les nationalistes, de gens gentils et fréquentables on vous dit !

Ils ne tuent pas, ils n'attisent pas la haine et n'ont aucunement une démarche raciste, non non.

Ça c'est cool ! :)

Wow. Un mémorial pour les victimes d'un attentat sur un avion en plein vol, en plein désert.

Les photos montrent les étapes de construction, et le résultat.

Très impressionnant et émouvant.

Un billet annoté étant toujours recevable, pourquoi pas ?

J'vais ptet m'y mettre... Faut trouver des slogans qui claquent...

La flatterie et le fait de me dire que je suis intelligent, bon dans la réparation de PC, que je m'y connais, etc. ne me fera PAS réparer votre ordinateur.

Pas gratuitement du moins :p

Hahaha énorme ! XD

(via Shetaya)

/bin/true

(d'autant plus vrai que mon bureau est effectivement vitré :p)

Ah oui, quand même Ô_Ô

M'enfin attention à ne pas juger suivant des critères humains, et uniquement ceux actuels. Ce sont des animaux, on n'a pas à leur imposer nos modes de société, et on ne peut pas les juger.

Et il y a encore quelques siècles, en France, une femme n'était rien d'autre qu'un objet mobilier parmi d'autres, ou presque et d'autres humains avaient le droit de vie ou de mort, à leur discrétion, sur les autres humains de son territoire.

(via sebsauvage)

Journalistes...

(j'ai tout dit là)

(via VF)

Bon, avec la fermeture prochaine de My Opera (http://mypersonnaldata.eu/shaarli/?2UdD4Q ) j'ai donc décidé d'auto-héberger mes mails, toute dernière étape de mon auto-hébergement complet.

Je me suis basé sur un tuto donné par Alda : https://workaround.org/ispmail/squeeze

J'ai fait plusieurs petites adaptations depuis ce tuto mais globalement ça donne une bonne ligne. J'avais un nom de domaine en parking, que je vais donc utiliser pour mon mail, et j'avais sauté sur l'occasion des serveurs à 2€ d'OVH, qui ne me servait pas jusque là (en même temps ils ont mis 2 mois à me le fournir ^^), et qui va donc me servir de serveur dédié au mail.

Depuis ce soir donc, ce nouveau mail fonctionne sous Thunderbird et sous K9, il faut encore que je fasse mon changement de mail GPG (même si ça n'empêche pas le chiffrement dans les faits).

Bon, j'arrive juste pas à m'envoyer des mails, mais c'est un détail :D XD

J'avais entendu parler des "taxis brousse" mais je n'en ai jamais vu ni fréquenté des gens qui s'en vantaient.

Que ça vienne d'écoles d'ingé réputées n'a rien d'étonnant, j'en parlerais peut-être plus en détail mais ces écoles, loin de former des "élites éclairées", forment surtout de bon petits chiens dociles qui perpétueront l'oppression du système.

J'ai envie de dire que c'est pas aussi simple.

Dans une interface graphique, au niveau du noyau, l'utilisateur d'une telle interface n'est qu'un processus, et un processus ne peut pas modifier ses appartenances à un groupe (à moins d'avoir un flag précis, que seul un utilisateur avec les privilèges root a, il me semble).

Fort heureusement, il existe une commande qui permet de forcer la prise en compte de ces changements : newgrp.

C'est décevant qu'aucun outil graphique de changement de groupe n'appelle cette commande après une modification sur l'utilisateur actuel. Arf, suis-je bête, c'est chiant à faire, faut pas faire ça n'importe comment, faire quelques vérifications, tout ça... Beaucoup plus simple de faire redémarrer la session.

Surtout dans X11. Du coup, les successeurs de X11 devaient régler le problème. On attend toujours.

(et sinon, je crois qu'en ligne de commande c'est directement pris en compte)

Oh, quand on cherche "user agent" sur Duckduckgo, il affiche le user agent du navigateur dans le premier encadré. Cool !

Un détournement de la dernière campagne de la sécurité routière.

J'aime bien ^^

XD

(via Orangina Rouge)

Putain le foutage de gueule quoi...

Connards.