Plusieurs choses me choquent.
Tout d'abord, le motif du licenciement, évidemment. Les salarié⋅e⋅s font ce qu'iels veulent en dehors du temps qu'iels concèdent à l'entreprise. Que ce soit du porno comme la construction d'une piscine, cela ne regarde en rien l'entreprise.
Je suis d'ailleurs à peu près sûr que si l'affaire concernait un homme dans la même situation, le traitement aurait été différent, mais ça, c'est de la spéculation.
Ensuite, c'est une déléguée du personnel qui a cafté. Ça je comprends pas. Enfin, si c'est une déléguée CGC-CGE, CFDT, CFTC ou un autre syndicat jaune, oui, évidemment, mais quand même, merde. Ça me dépasse qu'une DP cafte, c'est tout.
Enfin, il faut caractériser le trouble créé dans l'entreprise. La vie privée ne regardant personne d'autre, les autres personnes salariées n'ont qu'à se taire. Sinon cela voudrait dire qu'une personne "publique" (élue, interrogée ou simplement médiatisée pour x ou y raison) cause le même trouble et devrait donc être licenciée. Inacceptable.
Et si la démarche dérange les quatre personnes qui ont témoigné, bah... qu'elles ne regardent pas la vidéo, tout simplement. Qu'est-ce qui les dérange franchement ? Qu'elle baise ? Parce que bon, Jacquie et Michel ça montre juste ce que tout le monde fait à peu près hein, ça va les culs bénis là à la fin...
Franchement, tout ça me fait un peu halluciner et j'espère que l'association sera condamnée.