"Au vu de ces travaux, Jockers affirme que les intrigues archétypales du roman sont au nombre de six. Mais il n’a pas encore dit lesquelles."
"« [Ces recherches] impliquent qu’une intrigue romanesque est à la fois plus subtile et plus évidente que ce qu’on pourrait croire – qu’elle est moins le produit d’un conflit préconstruit que celui du style de l’écrivain et de ses personnages. »"
Donc à base de 6 types d'intrigues, on réussirait à faire une variété telle que la littérature disponible aujourd'hui ? La différence reviendrait donc dans l'articulation, la qualité de l'écriture et la perception du lecteur ? Voilà qui met pas mal de choses en perspective.
(via Clo)