La dernière fois, c'était sous Pétain, non ?
Dans tous les cas, Valls démontre encore une fois l'incompatibilité de l'Ordre et de l'Autorité avec l'exercice démocratique. Certes, l'organisation du pouvoir reste une république (désormais sous la bannière de "l'ordre républicain"), mais sa liberté est bâillonnée, au nom de la sécurité qu'elle pose comme antagoniste, de l'ordre et de la morale. Le tout sur fond de manipulation par les sentiments et la peur.
La manifestation est, bien évidemment, maintenue. Les pavés vont pleuvoir, mais c'est eux qui l'ont cherché...