Ça rentre dans ce cadre oui. Il s'agit de dire aux femmes comment s'habiller pour ne pas être considérées comme "objets sexuels", intégrant donc le fait que l'habit montre (ou pas) qu'une femme veut être "publiquement désirée". Il me semblait plus intéressant toutefois de rester dans le cadre de l'expression d'une liberté, puisque c'est l'angle choisit par l'autrice.
De plus, c'est toujours délicat, pour un homme, de venir "expliquer" ce qui est de la culture du viol, du patriarcat ou du féminisme à une femme. Alors oui, ça se rapproche effectivement de la culture du viol et du patriarcat le plus sournois et injonctif ("habille toi comme ça, c'est pour ta liberté"), mais il m'a semblé que le terreau était assez fertile pour ne pas aller sur ce terrain (les valeurs que prétend défendre l'autrice suffisent à mettre à mal son propre propos), et que d'autres personnes avaient plus de légitimité que moi à porter cette critique sur ce terrain.
Et je vais m'arrêter là, ça fait déjà beaucoup de paragraphes pour un tas de merde.