À lire.
Il y a un point sur lequel j'aimerai revenir :
"Comme vous m’aimez, vous « acceptez » (or cela ne vous concerne pas et je n’ai pas à avoir votre aval) que je sois féministe, à partir du moment où je ne deviens pas « radicale ». Ce dernier terme ayant un curseur bien différent selon qui vous êtes. Mais j’ai bien compris : ce qui vous pose problème, c’est le moment où je commence à déranger votre confort personnel d’hommes."
Ça, ça a vraiment un côté universel. On est, pour les autres, "radical⋅e" (et c'est mal il paraît) à partir du moment où ce qu'on dit remet en cause un privilège dont la personne en face bénéficie.
Le "trop", c'est en réalité lorsqu'on commence à gêner. C'est embêtant, parce que c'est précisément là que se jouent les avancées... et que commence la justice sociale.
(via M. et L.)